• Quand le temps s'accélère..."it's jungle in my head"

    Avoir peur, pour rien. Choses futiles, incompréhensibles.

    Se poser des questions, toujours trop de questions. Chercher, faire la part des choses.

    De la fumée dans les mains.

    Aimer. Qui? Je suis un point I, milieu d'un segment [AB], que choisir? C'est tellement difficile de connaître ce qui est le mieux pour soi. Tu le sens, n'est ce pas?

    Obligations, chercher, tenir, être ce que l'on ne veux pas. Musique dans les oreilles, ne jamais laisser en paraître. Orgueil.

    Ne pas refaire la même erreur. Mais comment? Tu le sais, toi?

    Tu me regarde. C'est toujours comme ça. Il faut toujours se battre contre ses vieux démons. S'ouvrir, c'est difficile.

    Faire la part des choses. Un pendule.

    Je ne suis qu'une petite fille, tu sais. J'ai encore besoin qu'on me prenne par la main.


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  • Voili-voilà. Retour à la maison. Je suis contente de rentrer en vérité. Revoir les gens, les montagnes, puis reprendre le petit train-train quotidien.

    Pour un billet de train, tu pars, tu reviens, tu vas où tu veux. Globe trotter. Entre temps, tu te pose enfin. Il ne reste plus qu'une semaine avant la rentrée. Il faut en profiter.

    J'ai lu un livre. Je ne me souviens plus très bien de l'histoire. Enfait, ce que j'ai retenu, c'est les 2-3 passages poétiques commençant tous avec un même mot: "Rêve". Alors oui, je rêve.

     Partir, loin, ou être simplement chez soit. Courir, sortir, crier et rire. Jusqu'a la folie, jusqu'a ce que tu ne sache plus ce que tu fais exactement. Pourquoi.Aller dans les champs, près du vieux cerisier où l'on aime tant aller. En fleur ou pas; toujours aussi imposant. Branches agréables qui ouvrent une vue sans pareil, l'horizon, sans voitures, plus de nuages. Protège.

    L'atmosphère chargée de ce petit quelque chose.

    Lumière jaune bleutée de ces fin d'après midi, lorsqu'il vient de s'arrêter de pleuvoir et que le soleil se couche, fatigué d'une bataille enfin gagnée.

    Odeur fraîche d'espoir, Amertume.

    Tout est calme, serein. Le temps n'existe plus.

     


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  •  Une semaine chez Dorothée. Ah! C'est fou ce que sa fait du bien!Déjà la voir c'est quelque chose, ou devrais je dire les voir, elle et toutes sa petite famille, qui est aussi la mienne.
     Enfin, les vacances, c'est avant tout la liberté! Je ne sais pas si c'est mon envie du moment de m'attaquer à la lecture des misérables, certains me trouveront sans doute un peut folle mais autant poursuivre mes lubies tant que j'en ai les moyens, bref, je ne sais pas mais vive la liberté. C'est bizarrement dit mais c'est capital. Vive cette liberté dans toutes les formes, alors vive l'artiste! Autant faire la révolution tant que nous somme jeunes, nous avons encore la force physique et mentale!
     Alors oui, quitter ses parents et ceux du quotidien pendant quelques temps, ça fait du bien. Rencontrer les personnes qui te sont cher et que tu ne peux pas voir en période "scolaire", ça fait du bien.
     Et me promener dans les rues, seule, sans personne pour me dire quoi que se soit et simplement penser, rêver, écouter de la musique à moitié bouffée par les écouteurs pourris et les bruits du métro, c'est encore mieux. Je peux alors dire, comme dans l'avare de Moliaire(celui avec Louis De Funès), "J"aime".
    Je ne peux rien dire de plus, car le reste après n'est pas très intéressant, et faire celle qui connaît toute la ville me plaît aussi, même si je suis tout à fait capable de me paumer au premier boulevard.
     En vérité je me laisse faire, je suis comme mon père, je ressasse mes réflexiences. J'aime Paris, de nuit comme de jour ; ce petit côté jazzy des vieux cafés dans lesquels il fait bon d'aller l'odeur de clope (a bah non, n'étant donc plus au nez), et j'aime aussi les péniches sur la Seine même si je n'y suis jamais montée. Alors oui à ce moment là j'ai tendance à fermer les yeux sur le reste, sur les autres côtés des choses. Je  ne me cache pas, mais là je suis en vacance.

     

    Et vive les couches de Viviane après tout cela, car se sont elles qui font tout le charme de mon monde, de ma liberté.


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  • =}

    Car tu n'as qu'une vie...

    Qu'il ne faut pas la gâcher...

    suis ton chemin

    Ne t'arrête pas, ne te retourne pas, ne doute pas

    continue

    Tu es le seul héros de ta vie, et le roman n'est pas achevé...


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